Cela va autrement mieux dès que l’on considère ce sujet comme une mine de renseignements et un outil pour s’organiser. Le sujet devient un allié, dès que l’on se pose les bonnes questions pour le retourner en tous sens.
De prime abord, par ce qu’il est imposé, le sujet semble un obstacle à surmonter, une contrainte ou un impératif subi. Dans cet état d’esprit, difficile de se motiver, de se sentir inspiré ou simplement libre de construire son raisonnement.
Cela va autrement mieux dès que l’on considère ce sujet comme une mine de renseignements et un outil pour s’organiser. Le sujet devient un allié, dès que l’on se pose les bonnes questions pour le retourner en tous sens. C’est précisément l’approche que propose ThinkMapping.
Le simple fait de consacrer du temps à l’analyse du sujet évite déjà deux écueils, deux sources d’erreurs. En allant trop vite, en effet, on peut se tromper de sens ou simplement adopter une vue réductrice, souvent par ce qu’on brule d’exploiter une idée afin d’échapper au stress.
Pour échapper au stress, mieux vaut au contraire reprendre ses esprits en scrutant le sujet point par point. Quand on sait faire, cela donne peu de mal. Les idées viennent toutes seules. De plus, on s’imprègne de ce que veut le correcteur, la véritable clé du succès.
Un moyen peu utilisé d’enrichir la perception du sujet consiste à aller au-delà de texte lui-même pour examiner aussi le contexte du sujet. Tout se met alors en perspective. On se remémore les notions, les faits, les opinions qui ont quelque chose à voir avec la question ; la matière première s’accumule.
Les trois angles pour analyser le sujet de dissertation
Mais le texte constitue le gros de l’information à exploiter. Il s’agit, pour en tirer le maximum, de combiner trois angles en examinant :
- chaque terme, en tant que tel
- la combinaison des termes les uns par rapport aux autres
- la formulation, avec tous les messages que cette formulation fait passer
Le mind-mapping facilite beaucoup cette analyse, car on répond à chaque question tout en gardant une vue d’ensemble. De plus le mind-mapping incite à rester synthétique et donc à gagner du temps.
Le canevas « Analyse du sujet » proposé sur le site donne les indications utiles. On complète les branches dans l’ordre qu’on veut, pour revenir à l’une ou l’autre, à mesure que les idées surgissent, sans pour autant perdre la cohérence de la démarche.
Parvenu à ce stade on a pris le pouvoir sur le sujet !